Bienvenue à la Mission Saint Hilaire d’Arles….. Prions pour tous les Chrétiens persécutés de par le monde pour leur Foi en Jésus-Christ.

Offices et Sacrements

 


MISE AU POINT

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Venir à l'Eglise nécessite un certain comportement, une certaine tenue. Aussi, nous a-t-il paru nécessaire de faire une petite mise au point devant certaines mésaventures.

Nous vous invitons à lire le texte suivant (cliquer ici).

Nous vous souhaitons une bonne lecture.



LE BAPTÊME


Un chrétien est un enfant de Dieu. Des parents chrétiens qui ont transmis la vie à leur enfant, et participent ainsi à l’œuvre créatrice de Dieu, si c’est pour eux une joie d’être chrétiens, n’auront qu’une hâte : c’est de faire de leur enfant un enfant de Dieu.

Le baptême est le premier des sacrements. Il fait entrer dans le peuple de Dieu, dans la grande famille des chrétiens, et il donne accès à tous les autres sacrements.

C’est en faisant confiance aux parents, au parrain et à la marraine, en s’appuyant sur leur foi, que l’Église accorde le baptême aux petits enfants.

Les parents s’engagent alors fermement à donner une éducation chrétienne à leur enfant : il faudra bien, quand il en aura l’âge, qu’il soit catéchisé. Plus tard, lorsqu’il sera adolescent, l’enfant s’appropriera son baptême en prononçant sa Profession de Foi. Il dira lui-même le « je crois » du croyant.

Le baptême est une nouvelle naissance. Le baptisé, plongé dans l’eau baptismale ou submergé par elle, ressort de la fontaine baptismale comme le Christ ressuscité sort de son tombeau au matin de Pâques. Il est baptisé dans la mort et la résurrection du Christ.

Commencez vos démarches au moins trois mois avant la date prévue pour le baptême.


LA PREMIERE COMMUNION


La foi est personnelle tout comme la croyance. L’homme accroche son espérance à quelque chose, à un objet sacré ou au Dieu suprême des cieux. C’est ce qui fait la confiance, l’espoir et la croyance d’un individu qui, en dépit de tout, a besoin d’un être plus important que lui pour le rassurer dans ses heures douloureuses. Chez les catholiques, il y a des édits, des consécrations pour confirmer leur foi, un peu comme la Première Communion.

Il s’agit de l’un des Sept Sacrements. Cela désigne la première fois qu’un baptisé reçoit le corps et le sang du Christ. C’est un rite qui a généralement lieu à partir de 8 ou 9 ans.

Toutefois, on peut la recevoir à tout âge. Elle fait partie des trois grands sacrements de l’initiation chrétienne appelés Baptême, Eucharistie et Confirmation. Pour mieux la comprendre, il est important de faire un petit saut en arrière pour creuser l’histoire.

Il faut dire qu’au XVIIe siècle en France, il y avait cette habitude de communier les enfants de 11, 12 et 13 ans après leur communion solennelle. C’était une pratique très sérieuse. Cependant, la religion connaîtra certaines innovations.

En effet, le Pape X va encourager au début du XXe siècle la communion à chaque messe. Les fidèles sont donc autorisés à communier chaque fois qu’on célèbre l’Eucharistie. En 1910, ce même pape a demandé que tous les enfants s’approchent de la table sainte, mais sous conditions.

D’abord, les enfants doivent pouvoir faire la différence entre le pain eucharistique de toutes les messes. Par ailleurs, si cela se fait au sein de la communauté, les jeunes enfants comprendront la communion comme un moment en famille, en communauté et non un acte personnel.

La Première Communion donne aux nouveaux communiés la possibilité de suivre pleinement le processus en bénéficiant d’un jour de repos, si ce n’est pas un dimanche. Elle a souvent lieu les samedis, et les dimanches, sur certaines paroisses.

Pour faire sa première communion, il faut d’abord avoir été baptisé, le baptême qui signifie l’entrée de l’individu dans l’Église. La communion va alors lui permettre de recevoir le corps du Christ.

Toutefois, à l’inverse du Baptême où les parents peuvent décider pour leurs enfants, la première communion engage le désir de l’enfant qui est libre d’accepter de s’approcher de la table sainte pour communier à chaque messe.

Il faut notifier que la prise du corps du Christ se fait lorsque l’enfant comprend qu’il s’agit d’un instant fraternel et non un moment de solitude. Surtout quand il commence à mieux connaitre Jésus, sa vie et sa passion. L’enfant doit comprendre d’abord que le pain de vie qui est l’hostie n’est pas un simple pain.

La première communion est un pacte d’appartenance à la vie et à la passion du Christ. Il s’agit de « manger son corps » et de « boire son sang » comme il l’a dit lui-même lors de son dernier repas (la Cène) avec ses disciples. Communier donc pour la première fois, est l’occasion d’intégrer l’enfant à la vie chrétienne adulte. C’est un évènement qui concorde avec un changement d’étape dans son processus de maturation humaine.

L’enfant prend de plus en plus conscience de lui-même et commence à mieux développer un sens critique. Jusque-là, il a encore besoin de la présence permanente parentale, mais il est désormais en mesure de prendre ses propres décisions concernant sa vie spirituelle.

La Première Communion prépare l’individu à participer activement à la vie eucharistique. Il grandit dans la foi en s’intégrant aux groupes de prières, aux mouvements paroissiaux, etc. Faire sa première communion, c’est dire « Oui, je crois en Dieu » et de pouvoir communier à chaque messe.


LA CONFIRMATION


La confirmation fait partie, avec le baptême et l’eucharistie, des Sacrements de l’initiation chrétienne.

À l’origine, l’initiation était un unique processus qui se déroulait, dans la nuit de Pâques, en trois séquences : une immersion dans l’eau, une onction d’huile parfumée appelée chrismation qui correspondait au rite du don de l’Esprit, et la réception pour la première fois de l’eucharistie. Le néophyte était ainsi baptisé et oint en vue de son appartenance à l’Église achevée par sa participation au corps du Christ. La chrismation, réalisée sur tout le corps par les prêtres, était terminée sur la tête par l’évêque. C’est cette dernière onction qui est devenue la Confirmation.

En effet, avec la diffusion du christianisme, l’évêque ne pouvait plus assurer tous les baptêmes, mission qui incombait aux prêtres. Or, en Occident, on souhaitait conserver dans l’initiation chrétienne une intervention de l’évêque, le successeur des apôtres. On a donc « détaché » du baptême le rite du don de l’Esprit. Ainsi est apparu « vers le milieu du Ve siècle, en Gaule, le terme de Confirmation ». Les Églises d’Orient choisirent de conserver l’unité de la célébration avec la chrismation, y compris pour les tout-petits. 

La confirmation reste intrinsèquement liée au Baptême et à l’Eucharistie. « Saint Thomas d’Aquin rapporte le baptême à la naissance, la confirmation au principe de croissance, l’eucharistie à la nourriture pour vivre », commente le père Bernard Maitte, responsable de la nouvelle édition du rituel de la confirmation pour les pays francophones. Certes, la croissance du chrétien commence dès le baptême, mais la confirmation vient lui donner un surcroît de grâce pour grandir dans la vie de Dieu et dans l’Église. « Elle révèle, manifeste au sens d’une épiphanie que désormais le baptisé doit totalement accomplir ce qui est inscrit dans son baptême », poursuit le père Bernard Maitte. En déployant le don de l’Esprit déjà reçu au baptême, « elle est le sacrement de la force pour le combat intérieur, et pour témoigner du Christ et de l’Évangile ʺsans rougir de paraître chrétienʺ », renchérit le père Louis-Marie Chauvet. Il ajoute : « Elle demande au chrétien de donner corps concrètement à ce que le baptême a déjà fait de lui. Et d’y donner corps dans l’Église. En ce sens-là, on peut parler d’un sacrement de la mission. » C’est pourquoi les confirmations sont célébrées autour de la fête de la Pentecôte, en mémoire de l’effusion de l’Esprit saint sur Marie et les apôtres cinquante jours après Pâques (Actes 2, 1-11).

Comment se déroule La confirmation ?

Le rituel comprend quatre temps importants. Un premier temps insiste sur la liberté à répondre à l’appel de Dieu. Pendant la préparation à la confirmation, le confirmand a adressé à l’évêque une lettre pour demander le sacrement. Au début du rituel, chacun est appelé par son prénom, se lève et répond « Me voici ». Vient ensuite la profession de foi qui est une reprise de la profession de foi baptismale. Dans un troisième temps, l’évêque du diocèse, et les prêtres qui lui sont associés pour donner le sacrement, imposent les mains sur les confirmands. Ce geste est celui du don de l’Esprit depuis les premiers temps des apôtres comme le mentionnent les Actes : « Alors, Pierre et Jean leur imposèrent les mains, et ils reçurent l’Esprit saint » (Ac 8, 17). Ce rite préparatoire est accompagné d’une prière dite par l’évêque, ou en son nom par son délégué. Il s’agit d’une prière trinitaire dans laquelle on demande à Dieu de « répandre sur » les confirmands et de leur « donner en plénitude » l’Esprit saint qui reposait sur son fils Jésus : « esprit de sagesse et d’intelligence, esprit de conseil et de force, esprit de connaissance et d’affection filiale, esprit d’adoration. » Enfin, avec son parrain ou sa marraine, chaque confirmand s’avance ­devant l’évêque, ou le ministre délégué en son nom, qui trace le signe de la croix sur son front avec le saint chrême. Il prononce en même temps la formule sacramentelle : « Sois marqué de l’Esprit saint le don de Dieu ». Le confirmand reçoit ainsi le sceau du don de l’Esprit saint qui « confirme », « authentifie » son baptême. Le rituel se termine par un geste de paix de l’évêque au confirmand.


LE MARIAGE



Vous avez décidé de vous marier à l'Eglise, devant un prêtre et en la présence de Dieu. Nous nous en réjouissons pour vous.

Notre Eglise bénit les couples divorcés et remariés.

Vous vous posez cependant certaines questions qui méritent des réponses précises. Voici un texte qui pourra vous aider.

Nous nous tenons à votre entière disposition.


LA SAINTE MESSE




Se renseigner à la Mission.


LE SACREMENT DU PARDON


Le sacrement du pardon, ou sacrement de réconciliation, est signe de l’amour inconditionnel de Dieu.

Lorsque nous prenons conscience que nous avons fait volontairement du mal à quelqu’un, lorsque la relation aux autres et à Dieu est abîmée par notre faute (c’est le sens du mot péché), un signe, une parole de pardon peut nous aider à renouer les liens (réconciliation), à reprendre confiance et à ne pas rester dans la culpabilité.

Comme Père de tous les hommes, Dieu n’est pas indifférent aux maux qui déchirent la famille humaine. Mais dans la personne de son Fils, Jésus-Christ, il nous a montré à quel point son amour est plus fort : un amour toujours prêt à pardonner.

Dans le sacrement de la réconciliation, la personne baptisée, reconnaissant ses péchés, vient demander le pardon de Dieu et le reçoit par le prêtre. C’est une force sur laquelle s’appuyer pour se réconcilier avec les autres et pour renouveler sa manière de vivre, dans le prolongement du baptême.


FUNERAILLES


S'adresser à la Mission. Tel. 06.31.36.23.12.